Tour d’Italie: Richard Carapaz sort de sa coquille
Comme en 2019, l’Equatorien a pris le pouvoir au terme de la 14e étape. Mais le leader d’Ineos n’a pas encore gagné : la formation Bora de Jai Hindley semble résolue à lui mener la vie dure dans la dernière semaine.

En cassant les codes de leurs épreuves, les organisateurs des « Grands Tours » ont désormais la certitude que les enchaînements chrono, sprint et haute montagne n’ont plus d’avenir dans une course de trois semaines. En une seule étape, samedi, dont le sommet était situé à… 690 mètres, sur les hauteurs de Turin, soit moins que le toit de la Belgique à Botrange, le Giro s’est peut-être joué. Il a en tout cas pris une tournure plus concrète en ce qui concerne les favoris, jusque-là calfeutrés à l’abri des difficultés par leurs équipiers.
Grandissime favori, Richard Carapaz s’était en effet satisfait d’une course d’observation, ravi de laisser à Juan Pedro Lopez la responsabilité de la défense du maillot rose. La dépense d’énergie provoquée par ces efforts à répétition a au moins permis à l’Espagnol de vivre un rêve éveillé, depuis une autre étape du même acabit à l’Etna.

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