Un passé «confidentiel»

Il était plutôt mal pris Wouter Devriendt : à la tête depuis peu de Dexia SA (qui depuis l’implosion du groupe en 2011, n’a plus aucune activité commerciale), il lui revenait mardi après-midi de répondre aux questions des membres de la commission spéciale « Panama papers » sur le passé du groupe bancaire et sur les activités suspicieuses de sa filiale d’alors, le bureau luxembourgeois Experta. Cette fiduciaire, qui était dans les années 2000 une filiale de la Banque internationale à Luxembourg (BIL), elle-même appartenant au groupe Dexia, a en effet créé au moins 1.659 offshore avec Mossack Fonseca. Devenant du coup son meilleur client.

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