Panama Papers: les petites mains belges de l’offshore
Une centaine de professionnels belges du chiffre figurent dans les Panama papers. Parfois comme simples prospects, d’autres fois comme zélés rabatteurs.


Sans eux, Mossack Fonseca et les autres industriels de l’offshore n’existeraient pas. Ou si peu. L’optimisation et la fraude fiscale resteraient des sports de combat réservés aux initiés ; les Seychelles, les Bahamas et le Panama ne se découvriraient qu’au travers de cartes postales et guides touristiques. Comptables, consultants, employés de fiduciaires, avocats, ils sont au moins 117 intermédiaires belges à avoir été identifiés par Le Soir, De Tijd, Mo et Knack dans les fichiers de Mossack Fonseca qu’ont obtenus l’ICIJ et le Süddeutsche Zeitung.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire