Le professeur irano-suédois de la VUB peut être pendu à tout moment à Téhéran
Alors que l’Iran est le second pays dans le monde après la Chine en matière d’exécutions capitales, Ahmadreza Djalali vit dans l’angoisse d’une exécution qui pourrait être imminente.


Ahmadreza Djalali, un spécialiste reconnu de la médecine d’urgence, sera-t-il bientôt exécuté à Téhéran où il se trouve emprisonné depuis 2016 ? L’Iran le laisse entendre. Dans ce pays, la peine de mort reste une punition pénale courante, comme le signale chaque année le rapport d’Amnesty International sur le sujet de la peine capitale dans le monde.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Je doute qu'il soit un jour pendu .Il représente une monnaie d'échange beaucoup plus intéressante vivant que mort !!!