«Vous avez de ces mots»: Faites entrer l’{impétrant}
Sur terre, sous terre, les impétrants foisonnent…


Il est des mots qui couvrent un champ lexical particulièrement riche et parfois contrasté. Pensez par exemple à ministre, passé de “serviteur” à “membre d’un gouvernement”. Ou à gendarme, faisant le grand écart entre “gentilhomme cavalier” et “virago”, quand ce n’est pas entre “hareng saur” et “saucisse sèche”.
Le nom impétrant est du nombre. Il s’entend à la fois dans de doctes assemblées et chez les rudes travailleurs de la terre. S’il s’agit d’un impétrant belge, toutefois. Comment expliquer cette variation ? Cette chronique a mené l’enquête, sans verser dans la lexicographie de caniveau.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
A nouveau, un mot largement connu mais qui réserve des surprises... Comme "gendarme", je crois me souvenir qu'à Bruxelles ce mot est ou était employé pour désigner une...crotte de chien. Il s'utilise aussi pour le tire-bouchon à double levier, que nos amis québécois appellent un "de Gaulle". Ha ! Quelle belle imagination...