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Les crèmes solaires «naturelles», bonne ou mauvaise idée?

Les considérations environnementales guident désormais nos achats cosmétiques. Il s’agit d’un fait avéré : les filtres chimiques contenus dans nos crèmes solaires ont un impact direct sur la biodiversité marine. Mais les filtres minéraux ne sont pas aussi écologiques que leur nom l’indique.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 5 min

Avec le retour des beaux jours, les ménages risquent de jeter leur dévolu sur les crèmes solaires. Les plus sensibles d’entre nous ne quittent plus leur tube depuis plusieurs jours. Les autres devront prochainement sélectionner un produit parmi la kyrielle de références disponibles sur le marché. Entre les indices de protection solaire, la mention de la résistance à l’eau, la texture… le choix peut se révéler cornélien. En outre, ces dernières années, des considérations environnementales et sanitaires sont venues se greffer à la liste des critères initiaux. Tous les ans, environ 25.000 tonnes de crème finissent dans les océans, affectant directement la faune et la flore. « Lorsqu’on parle de crèmes solaires naturelles, on regarde surtout les filtres anti-UV utilisés », pointe Cathy Debier, professeure à la faculté des bioingénieurs de l’Université catholique de Louvain.

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