Une femme d’exception

Toutes les belles histoires ont une fin et celle de l’Opéra Royal de Wallonie avec Speranza Scappucci arrive à son terme avec le Simon Boccanegra de Verdi qu’elle dirigera dès ce vendredi soir. Il y a 5 ans, la jeune femme arrivait comme directrice musicale d’une maison dirigée par Stefano Mazzonis. Avant cela, on avait déjà pu apprécier son talent de cheffe dans Jerusalem, une œuvre peu connue du même Verdi avec lequel elle termine son parcours liégeois. Dans les prochains mois, elle rejoindra Paris, le Metropolitan Opera de New York et bon nombre de grandes scènes internationales. Ces cinq années liégeoises ont aidé à sa renommée. Elles ont aussi donné un nouvel élan à un orchestre qui aura trouvé en elle une directrice musicale mais aussi une personnalité totalement investie dans cette aventure, au point de reprendre les rênes artistiques après le décès inopiné de Stefano Mazzonis et en pleine crise du covid. Une sacrée personnalité dont on n’a pas fini d’entendre parler. Et qu’on espère revoir régulièrement chez nous.

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