Le carnet du samedi: «Maudit train»
La Belgique est un flacon d’huile et d’eau. Pas de mélange possible.


La commère d’Anvers aime se répéter. Ses « éléments de langage » ne sont pas nombreux. Ce sont quelques petits clous, tout simples, que Bart De Wever tapote, tapote, tapote, pour bien les enfoncer dans le crâne de ses électeurs.
Il serine ainsi que le pays rassemble « deux démocraties » qui n’ont plus rien à se dire – on nous a resservi le couplet pendant la grève des trains. La commère n’invente rien de neuf. La Belgique est coupée en deux depuis son premier lange. Ce sont deux pièces voisines, imperméables, qui ne se sont pas donné l’occasion de faire une.
Aurait pu, notez.

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