De joie, de partage, de soif: quand le vin se donne des petits noms
Une nouvelle façon de parler du vin a émergé chez les amateurs : moins prise de tête, décomplexée et axée sur la fonction sociale de produits qui, dans le même temps, ont eux-mêmes évolué.


Vin de joie, vin de partage, vin de convivialité, vin de copains, vin de soif, vin rock’n’roll, et on en passe. Celles et ceux qui se rendent régulièrement chez un caviste, qui sont familiers d’émissions culinaires, qui suivent des passionnés d’œnologie sur les réseaux sociaux ont plus que probablement repéré ces nouvelles façons de désigner le vin. Peut-être pas aux premières occurrences, mais à force de les entendre martelées sur un ton d’évidence, à vrai dire, un peu suspect. En effet, depuis quand un vin ne serait plus de joie, de partage ou de convivialité, par exemple ? Et pourquoi ceux-là le seraient davantage que d’autres ? Et puis, au fond, pourquoi y aurait-il besoin d’inventer de nouvelles désignations pour le vin quand le sujet en regorge déjà ?

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