Quand l’Euro ressemble à l’Eurovision
Cet Euro, on va le savourer à sa juste valeur car ce sera certainement l’un des derniers où le soupçon de priorités sportives restera un critère de participation. Le regard de Frédéric Waseige sur l’Euro 2016

Retour en France, 18 ans après la génération « black-blanc-beur », on se dit que les coqs auront besoin de leur génération « jeune-jeune-jeune » pour triompher. A coup d’ergots et un peu moins d’ego. Pas question de jeûne. L’appétit vient en… jouant.
Cela dit, cet Euro, on va le savourer à sa juste valeur car ce sera certainement l’un des derniers où le soupçon de priorités sportives restera un critère de participation. 24 qualifiés pour 53 équipes en « éliminatoires ». Au train où ça va, lors des prochaines qualifs, même les derniers de chaque groupe joueront des barrages (en 18 allers-retours entre tous les derniers) pour en arriver à 48 qualifiés. Une sorte d’Euro version Eurovision. UEFA-Fifa même combat. Surtout ne pas prendre le risque que des gros marchés ne participent pas au festin. Cela dit, ça ouvre la porte aux « petits » et ça, on s’en réjouit.

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