Tim Merlier, dangereux récidiviste qui sera pourtant privé de Tour
Son premier sacre tricolore, il y a 3 ans à Gand, en avait surpris plus d’un. Le second, conquis à Middelkerke au bout d’un sprint ébouriffant, confirme le changement de format d’un coureur devenu l’un des meilleurs finisseurs de la planète.

Tim Merlier a donc succédé à Wout van Aert (absent pour blessure), le Flandrien (29 ans) a profité du parcours plat comme la main – dessiné par Johan Museeuw - pour faire parler la poudre. Allumer une mèche que personne n’a pu éteindre, sous le soleil caressant la côte belge.
Ce succès, le 22e d’une carrière sur route ouverte tardivement, le compagnon de Cameron Vandenbroucke le doit à ses qualités intrinsèques, cette « giclette » dans les derniers décamètres, plus qu’à une préparation spécifique ou à une stratégie d’équipe. La première avait été réduite à sa plus simple expression (9 jours de course et le seul Tour de Slovénie comme répétition) après une blessure au coude qui l’avait tenu écarté de la compétition pendant deux mois, après Paris-Roubaix. Quant à la tactique de son team Alpecin-Fenix, elle avait clairement été établie en fonction de son « meilleur ennemi » Jasper Philipsen, promu tête de gondole de l’équipe belge.

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