Les alliés aideront l'Ukraine aussi longtemps que nécessaire jusqu'à la défaite russe
Le sommet de l’Otan s’est achevé jeudi dans la capitale espagnole sur un engagement, « quoiqu’il en coûte ». C’est un combat existentiel qui se joue en Ukraine : eux ou nous. Moscou voit s’abattre un nouveau rideau de fer.


C’est, pour tout dire, une lutte à mort qui est engagée pour sauvegarder l’espace démocratique en Europe, contesté par la Russie de Vladimir Poutine. Aujourd’hui en Ukraine. Mais demain ? Le tableau des rapports entre l’Occident et son voisin russe dressé cette semaine au sommet de l’Otan à Madrid est particulièrement inquiétant, qui envisage dans la décennie à venir la « possibilité », « à ne pas exclure », d’une attaque contre un pays de l’Alliance. Donc, a priori, contre un Etat membre aussi de l’Union européenne, puisqu’avec l’adhésion imminente de la Suède et la Finlande à l’Otan, il ne restera plus que l’Irlande, l’Autriche, Malte et Chypre dans l’UE à maintenir leur « neutralité ».

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir26 Commentaires
... parce qu'il ne faut surtout pas oublier que parmi toute cette racaille de collabos poutinophiles (et autres idiots utiles au gangster terroriste) , ceux qui signent leurs commentaires lamentables et abjects par des pseudos à la con ou des initiales, trop lâches pour faire autrement, certains de ces affreux jojos sont plus que probablement des politicards de partis politiques n'ayant pas leur place dans nos systèmes démocratiques ... ni dans nos pays.
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@ S Pour Sucepoutine. Quand celles de Vlad ne donneront plus, il vous restera celles de Xi et de Kim. Franquin continue à me faire rire contrairement à vos propos minables.
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Quel humour, M. Haegelsteen! Mais je préfère quand même Franquin.