Sponsoring dans le tennis: quand les marques mainstream viennent jouer sur le terrain de Nike
Depuis quelques mois, Celio, Hugo Boss et Artengo squattent les courts du circuit ATP. Une incursion dans le sport de haut niveau peu banale, révélatrice de la place grandissante du sport dans la mode, mais aussi de l’évolution des athlètes à l’ère des réseaux sociaux.


Et si virgule et croco avaient du souci à se faire ? Depuis quelques mois, de nouveaux acteurs ont fait leur entrée sur les courts de tennis, des noms familiers du grand public mais pas forcément associés au sport, certainement pas de haut niveau. Ils s’appellent Celio, Hugo Boss, Artengo (Decathlon) et font timidement irruption dans un marché trusté par les références en matières de vêtements sportifs techniques – Nike, Fila, Adidas – et par les traditionnels du tennis – Le coq sportif, Lacoste, Yonex. Des incursions pas tout à fait inédites puisque H&M avait connu une aventure sans lendemain avec Thomas Berdych (alors 6e mondial) en 2013 et qu’Uniqlo travaille avec les mastodontes Roger Federer (un deal à 300 millions de dollars sur dix ans) et Kei Nishikori (très couru sur le marché asiatique). Mais l’arrivée des trois petits nouveaux reste une anomalie sur le circuit, en particulier pour les deux firmes non sportives.

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