Attentat déjoué de Villepinte: vers une «amnistie» pour les auteurs iraniens?
Condamnés à 17, 18 et 20 ans de prison par la cour d’appel d’Anvers, les auteurs iraniens de l’attentat déjoué de Villepinte pourraient être transférés, libérés ou voir leur peine allégée. Un texte qui émerge après que l’Iran a annoncé l’exécution imminente de l’Irano-Suédois Ahmedreza Djalali, professeur à la VUB.

Un projet de loi portant assentiment à cinq actes internationaux, déposé par le gouvernement en extrême urgence ce mercredi permettra-t-il aux auteurs de l’attentat manqué de Villepinte de recouvrer la liberté bien plus tôt que prévu ? C’est la grande crainte des parties civiles de ce dossier, qui voient arriver le projet de traité entre la Belgique et la république islamique d’Iran sur le transfèrement « comme s’il avait été écrit spécifiquement pour Assadolah Assadi », l’organisateur de l’attentat, réagit Me Georges-Henri Beauthier, conseil des parties civiles.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
A partir du moment où de toute façon, la "justice belge" remet en liberté après un tiers de la peine, ne pourrait-on pas dans ce cas-ci estimer que la vie du professeur à la VUB prime sur la condamnation de toute façon "temporaire" de ces terroristes?