Fusillades à répétition à Bruxelles: la police désarmée
La recrudescence des faits de violence par arme à feu qui occupe l’actualité bruxelloise cache une autre réalité. En Belgique, les enquêtes sur la provenance et le parcours des armes impliquées dans de tels faits semblent compliquées par un manque de moyens et une perte progressive d’expertise.

Rue de la Borne à Molenbeek, 18 juin 2022. Un homme de 20 ans est retrouvé avec des blessures par balles aux jambes. Deux jours plus tard, les secours sont appelés à quelques centaines de mètres de là, pour un énième blessé par des tirs à l’arme à feu. Cette fois-là, c’est le bras qui est touché. En avril, la mort par balle (dans la poitrine) d’un jeune homme nommé Dion avait déjà heurté la capitale. C’était à quelques centaines de mètres de là, rue Dubois-Thorn. Encore à Molenbeek.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir16 Commentaires
Les mafias qui gangrènent notre pays ont bien compris que la Belgique est vulnérable et démunie face à elles.
Bah, le plan "Good Move", priorité suprême, va arranger tout çà. Non?
C'est la conséquence logique d'avoir une anarcho-tyrannie. Citoyens honnêtes désarmés et traqués; délinquants impunis.
Caramba, vous avez raison. Mais il n'est pas fait d'or dur, mais d'ordure.
@ Smyers ... En taule. La probabilité qu'Adolphe- le -demeuré se change un jour en tôle est malheureusement quasi nulle :-)