Le travail à l’Office des étrangers, «on aime ou on n’aime pas»


A huit heures tapantes, à la tour World Trade Center près de la gare de Bruxelles-Nord, les portes s’ouvrent : à l’Office des étrangers, la journée commence tôt. Première étape de la journée : chaque personne de la file reçoit un numéro. Ces derniers temps, avec l’afflux de demandeurs d’asile (on devrait passer le cap des 3.000 au mois d’août), certains ne reçoivent pas de ticket et sont priés de revenir le lendemain. C’est arrivé deux lundis d’affilée. « Aujourd’hui, tout le monde sera reçu, je pourrai donc dormir tranquille ce soir », explique Yakup Urun, responsable du service interview et décisions de l’Office.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire