Le pire n’est jamais une fatalité
Comment traverser les temps sombres et croire qu’il y aura un après ? En s’appuyant sur ceux et celles qui font du chaos leur terrain de recherche et de combat.


Déluges de bombes russes en Ukraine, punition, vengeance, haines, humiliations, démolitions. Ils sont terribles, les mots de l’actualité, ils nous clouent au sol, nous anéantissent même ici, loin des lignes de front.
Comment tenir bon ? D’autant plus difficile quand la guerre en Ukraine ajoute du malheur et des peurs aux malheurs et aux peurs écologiques, aux malheurs et aux peurs pandémiques. Comment traverser les temps sombres et croire qu’il y aura un après ? En s’appuyant sur ceux et celles qui font du chaos leur terrain de recherche et de combat, en s’inspirant de ces hommes et ces femmes qui refusent d’être paralysés par l’angoisse et travaillent sous les bombes de tous genres, à imaginer la suite et à tisser le futur.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Pendant que vous rédiger cet édito, delvaux, vous laissez ce foirum ouvert à ceux qui veulent semer le chaos. Il y a hélas comme un parfum d'hypocrisie putride dans ce que vous écrivez qui en ôte toute crédibilité. Il nuit à la cause que vous prétendez défendre..