Les suicides de jeunes se multiplient dans une bande de Gaza sans avenir
Malgré la stigmatisation et les conséquences juridiques, de plus en plus de jeunes mettent fin à leurs jours dans un territoire qui vit depuis quinze ans sous blocus israélien.
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Quand Jamila repense au suicide de son fils, elle le revoit lui demandant pardon tandis qu’ils brûlaient ensemble. Hosni Abu Arabiya avait craqué une allumette après s’être aspergé d’un litre d’essence. Alors qu’il commençait à s’immoler, il a pris peur et s’est lancé instinctivement sur les genoux de sa mère. « Il me disait : “Je suis désolé, maman, je ne voulais pas te faire de mal, seulement que tu m’aides, je suis désolé” », se souvient aujourd’hui la mère, encore marquée par les cicatrices de brûlures, dans sa maison de Jabalia, à l’extrémité nord de la bande de Gaza.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Enceinte à 16 ans... Par ailleurs, en Belgique le taux de suicide est plus haut qu'à Gaza, un petit article à ce sujet ?
En Belgique (qui compte 5 fois plus d'habitants) il y a eu 1792 suicides reconnus en 1918, soit bien plus que dans la bande de Gaza.
Quand un mec de 25 ans épouse une gamine de 16 ans! Il n'est pas le seul dans son genre.
Qu'est-ce que ça a à voir avec le sujet du désemparement de toute une population contre l'occupation brutale et meurtrière par un pays qui ne risque pas la moindre remarque des occidentaux.