Eric Snoeck: «On a beau publier des offres d’emploi et ouvrir des postes, on ne trouve pas assez de candidats»
Eric Snoeck, directeur de la Direction générale de la police judiciaire (DGJ), ne nie pas la réalité du terrain telle que rapportée par ses équipes. S’il assure que la situation tend vers un mieux, il constate aussi que la PJ continue de souffrir d’un manque relatif d’attractivité. Or, la concurrence est rude lorsqu’il s’agit d’engager certains profils très spécialisés.

Depuis qu’il est directeur de la police judiciaire fédérale, Eric Snoeck ne s’est pas privé d’alerter les pouvoirs publics sur la situation humaine, financière et matérielle de ses services. A l’issue de notre enquête, il dit partager la plupart des constats exposés par nos interlocuteurs et rappelle qu’il cherche des solutions au quotidien.
Durant l’été 2019, lors d’une précédente interview, vous nous expliquiez qu’il manquait 800 enquêteurs à la police judiciaire. Où en est-on aujourd’hui ?

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
La,situation n’est pas du tout (!!) en ligne avec les principes du droit et du système judiciaire en Belgique, où le magistrat est en principe censé pouvoir classer sans suite en son âme et conscience, par rapport au seul contenu du dossier.
Normal il n'y a plus que des assistés avec des diplômes en papier mâché obtenus par compassion ! L'éducation, la volonté du travail, les études sont en voie de disparition. Les gens n'ont plus qu'une main de disponible et les oreilles encombrées par un casque.
Tout votre portrait quoi!