Lior Refaelov attend une réaction d’Anderlecht face à Bucarest: «C’est un nouveau départ pour tous»

Quelques jours après sa nouvelle altercation avec Wesley Hoedt à Sclessin, Lior Refaelov prône l’union sacrée. Il avoue se sentir responsable de la crise actuelle et du départ de Felice Mazzù.

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«On doit tirer les leçons de tout cela et nous en sortir ensemble», déclare Refaelov.

Par Xavier Thirion

Publié le 27/10/2022 à 08:00 Temps de lecture: 3 min

Lior Refaelov (36 ans) n’a plus posé son doigt sur la bouche mercredi, comme il l’avait fait dimanche à Sclessin devant toute la Belgique du football, pour faire taire un Wesley Hoedt l’exhortant à sortir plus rapidement du terrain. Hoedt, de son côté, lui a suggéré de prendre une photo de réconciliation au début de l’entraînement. « Comme ça, ils écriront une fois autre chose », a lancé le Néerlandais. Mais Refaelov a préféré parler aux médias. Il sait que l’heure n’est plus aux gamineries au parc Astrid.

« Ce genre de petits incidents, comme celui avec Wesley, ne peut plus arriver », a reconnu l’Israélien. « Nous devons nous respecter mutuellement. Mais les jours suivants, c’est déjà oublié. On est de nouveau pleinement concentrés pour gagner des matches. On doit tirer les leçons de tout cela et nous en sortir ensemble. Dès ce jeudi contre le FCSB »