Le spectre de la division plane sur le sommet de la Ligue arabe
Pour ce premier sommet en trois ans, les Etats arabes avancent en ordre dispersé. Et quelques grands du monde arabe ont préféré décliner l’invitation : le Saoudien Mohammed Ben Salmane, le Marocain Mohammed VI ou encore le Jordanien Abdallah II.

A quelques heures du début des travaux du 31e sommet des chefs d’Etat arabes à Alger, tout semble fin prêt pour la réussite de cet événement au plan organisationnel. Mêmes les itinéraires routiers qui devraient être empruntés au cours des deux jours que dureront ces travaux sont d’ores et déjà, en grande partie, interdits à la circulation. Pour l’Algérie, au-delà des enjeux politiques et de la qualité des participations, le souci de promouvoir l’image d’un pays-pivot prime sur le tout. Le choix de la date, qui correspond à l’anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, entre de toute évidence dans ces calculs.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
rien de neuf quoi!