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Diab, réfugié syrien: «L’avenir de mes filles est en Belgique»

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

Diab a cinquante ans, une femme, et trois filles, de 17, 15 et 8 ans. Avant que la guerre n’éclate en Syrie, il était photographe et cameraman. Il travaillait notamment pour la télévision syrienne mais possédait aussi son propre studio indépendant. «  J’avais une vie paisible : une famille, une belle maison, une voiture, mon studio, raconte-t-il avec un beau sourire. Quand la guerre a commencé, je pensais que ça ne durerait pas…  » C’est la destruction de sa maison et de son studio qui l’a réellement décidé à partir : «  J’ai travaillé pendant des années pour construire cette maison. C’est comme si ma vie là-bas s’était arrêtée à ce moment-là. Nous avons d’abord essayé de partir dans des régions où il n’y avait pas la guerre. Puis pour sauver ma peau, j’ai décidé d’émigrer pour recommencer une vie ailleurs.

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