Gilles Dal sur scène: sur un malentendu, ça peut marcher
Historien ou histrion ? L’ami Dal n’a jamais tranché. Dès ce jeudi soir, le professeur d’université fera le saltimbanque, au TTO, en interrogeant les drôles de ratés de la communication.


Il est né le jour précis où la Grèce, rompant avec le fâcheux et facho régime des colonels, s’est choisi une nouvelle constitution. Cette année-là – c’était 1975- passait à la radio L’Eté indien, de Joe Dassin. Sur les dancefloors, le futur pote de Gilles, Frédéric Jannin se trémoussait alors dans les discothèques sur That’s the way (I like it) de KC & The sunshine band. Coluche faisait le con avec son Schmilblick, tandis qu’en librairie, quelques historiens moustachus à col roulé se ruaient sur la sortie de La Vie quotidienne des paysans bourguignons au temps de Lamartine, d’Henri Vincenot. C’était aussi l’année de La Vie devant soi, prix Goncourt d’un dénommé Emile Ajar, nom d’emprunt de Romain Gary – deux hommes pour le prix d’un !

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