Enseignement supérieur: des mesures «au cas par cas» pour soutenir les étudiantes enceintes
Faute de statut ou de congé de maternité obligatoire, des étudiantes de l’enseignement supérieur se voient contraintes de jongler entre les premiers biberons et les feuilles de révision.


Avec l’allongement des études, la diversification des profils étudiants, mais aussi la reprise d’études à horaires décalés, les grossesses en cours de cursus se font moins rares qu’auparavant. Mais comment concilier un accouchement, et ensuite un post-partum, avec la charge de travail inhérente aux études supérieures ? La question ne se poserait pas pour les personnes exerçant un travail salarié. Le congé de maternité obligatoire pour une durée minimum de neuf semaines après l’accouchement vise à mettre la maman au repos tout en lui permettant d’appréhender sa nouvelle vie. Il en va de même pour les aidants proches ou les indépendants (de plus courte durée et moyennant certaines conditions).

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
C’est bien d’avoir des enfants que la société pourra prendre en charge. Toujours plus à charge de la sécurité sociale qui a déjà des grandes difficultés.
Elles ne peuvent pas attendre d'avoir fini leurs études, d'avoir trouvé un logement et de gagner leur vie pour faire un gosse? Marre des mesures visant à aider les irresponsables.
Elles savent quand même comment faire pour ne pas avoir d'enfant alors pourquoi elles ne prennent pas leurs précautions ces cruches???? Faut pas être maligne pour avoir un enfant quand on est aux études!!!