Nelson, Spyres. Berlioz

Erato
La collaboration du chef américain et du Philharmonique de Strasbourg nous a déjà valu quelques parutions exemplaires. Ce nouveau disque nous vaut une double révélation. Celle de Timothy Ridout, une gloire montante de l’instrument qui réussit le miracle d’assumer une partie soliste engagée tout en se fondant comme un membre à part entière de l’orchestre fulminant de Berlioz. La seconde nous vient de Michaël Spyres qui nous seulement chante seul le cycle des « Nuits d’été » primitivement prévu pour quatre timbres mais surtout parvient à respecter les tonalités d’origine, à l’encontre des multiples cantatrices qui se sont illustrées dans ce cycle. Ce ne serait qu’un exploit si une unité profonde et fertile ne se dégageait de ces interprétations. Un exploit qui est d’abord un bonheur.

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