L’empreinte environnementale du secteur telecom belge mise à nu
Une étude de l’IBPT montre l’évolution de la consommation d’énergie et des émissions de CO2 des principaux opérateurs


Avec la digitalisation croissante de la société, l’empreinte environnementale du numérique devient un sujet de préoccupation majeur. Car on a parfois tendance à l’oublier mais derrière un appel téléphonique, le stockage d’un mail dans une boîte aux lettres ou le visionnage d’un film en streaming, il y a consommation d’énergie. Pour la première fois, une étude s’est attachée à dresser un état des lieux de la durabilité des réseaux de télécommunications en Belgique. Réalisée par le consultant Deloitte à la demande de l’IBPT (le régulateur des télécoms), elle se concentre sur l’évolution de la consommation énergétique, des émissions de CO2, de la consommation d’eau et du traitement des déchets, histoire de quantifier les efforts déjà fournis par les opérateurs.

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