Le commissaire général de la police fédérale ne rempilera pas pour un autre mandat
Marc De Mesmaeker avance « des raisons personnelles » pour motiver sa décision.


Fin novembre, plusieurs médias dont le Nieuwsblad faisaient état de tensions entre le gouvernement Vivaldi, en particulier les ministres de l’Intérieur et de la Justice, Annelies Verlinden (CD&V) et Vincent Van Quickenborne (Open VLD), et le patron de la police. Le commissaire général Marc De Mesmaeker aurait été mis à l’index pour la gestion de plusieurs dossiers, comme la gestion du recrutement de 1.600 policiers par an ou la lutte contre les mafias de la drogue. Marc De Mesmaeker se taisait dans toutes les langues, jusqu’à ce jeudi. Le service de presse de la police fédérale fait savoir que Marc De Mesmaeker « confirme qu’il ne prolongera pas son mandat » qui expire en juin prochain, avançant « des raisons personnelles ». « Il a communiqué cette décision aux ministres de l’Intérieur et de la Justice. Il insiste sur le fait que la population, les autorités, les autres partenaires de la chaîne sécuritaire et, bien sûr et avant tout, le personnel de la police fédérale et, par extension, de la police intégrée (police locale et fédérale, NDLR) peuvent, entre-temps, continuer à compter sur son total engagement », indique le commissaire général sortant. Il était entré en fonction le 15 juin 2018.
Fin novembre, plusieurs médias dont le Nieuwsblad faisaient état de tensions entre le gouvernement Vivaldi, en particulier les ministres de l’Intérieur et de la Justice, Annelies Verlinden (CD&V) et Vincent Van Quickenborne (Open VLD), et le patron de la police. Le commissaire général Marc De Mesmaeker aurait été mis à l’index pour la gestion de plusieurs dossiers, comme la gestion du recrutement de 1.600 policiers par an ou la lutte contre les mafias de la drogue. Marc De Mesmaeker se taisait dans toutes les langues, jusqu’à ce jeudi. Le service de presse de la police fédérale fait savoir que Marc De Mesmaeker « confirme qu’il ne prolongera pas son mandat » qui expire en juin prochain, avançant « des raisons personnelles ». « Il a communiqué cette décision aux ministres de l’Intérieur et de la Justice. Il insiste sur le fait que la population, les autorités, les autres partenaires de la chaîne sécuritaire et, bien sûr et avant tout, le personnel de la police fédérale et, par extension, de la police intégrée (police locale et fédérale, NDLR) peuvent, entre-temps, continuer à compter sur son total engagement », indique le commissaire général sortant. Il était entré en fonction le 15 juin 2018.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Ah ben c'est donc un bug général. L'article que j'ai lu juste avant était dupliqué en totalité.
ou le collage "bégayant" :-)
Intéressant cet article qui ne décrit pas ni ne contextualise explicitement les enjeux et qui reprend deux fois le même paragraphe...
c'est du "copier cocoller" !