Cru ou cuit, le massepain reste un incontournable de Saint-Nicolas
La confiserie en pâte d’amande se déguste toute l’année. Mais c’est à la Saint-Nicolas qu’elle se vend le plus en Belgique, sous bien des formes.

Un verre de lait ou d’eau-de-vie pour Saint Nicolas. Quelques morceaux de sucre et une carotte pour son âne. Le tout, aux côtés d’une assiette vide. Le 5 décembre au soir, de nombreux enfants du pays prépareront méticuleusement l’arrivée du grand Saint. Après s’être glissé dans les cheminées, il engloutira son ravitaillement et déposera en échange cadeaux et gourmandises. Mandarines, bonbons et chocolat viennent généralement garnir l’assiette des enfants sages. Parmi les incontournables de la hotte du patron des écoliers figure souvent aussi le massepain. Cette confiserie traditionnelle séduit par son moelleux et son goût délicat d’amande. Autre avantage : pour le confectionner, nul besoin d’être un pâtissier chevronné. « C’est sans doute l’une des préparations les plus simples à réaliser en pâtisserie », assure Jean-Marie, gérant de la Maison de massepain qui porte son prénom, située passage Lemonnier à Liège.

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