Riad Sattouf: «Mon peuple, c’est celui des gens qui écrivent et font des livres»
Best-seller absolu du roman graphique, « L’Arabe du futur » est une bande dessinée à l’émotion radioactive. Le sixième et dernier tome de l’autobiographie de Riad Sattouf trouve une fin onirique magistrale.


Riad Sattouf n’avait pas le physique d’Arnold Schwarzenegger. Son père syrien flirtait avec l’islamisme et avait enlevé son jeune frère, Fadi. Son grand-père breton était naturiste et le voyait facteur. Très tôt, Riad s’est cherché par le dessin. Il rêvait d’une vie d’artiste à la Hergé ou à la Moebius, l’auteur de L’Incal, d’Arzach et de Blueberry.
Sa famille a vu en lui le talent surnaturel d’un nouveau Leonard de Vinci. Mais il avait plutôt les gènes de Robert Crumb et Philippe Vuillemin, à l’image de ses premiers titres trash
: Le M

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Encore un rêveur sans plus!