L’Espagne de Luis Enrique, sur un fil tendu entre caricature et chef-d’oeuvre
C’est une autre Coupe du monde que l’Espagne entame ce mardi soir. Le Japon lui a montré qu’une domination indiscutable –82,3 % de possession– n’a, en somme, qu’une valeur toute relative. Luis Enrique changera-t-il son fusil d’épaule ?

Sa très nette victoire contre le Costa Rica – 7-0 – l’avait placée dans un fauteuil pour la suite de son parcours en groupe. La défaite contre le Japon, et la perspective réelle de passer à la trappe avec le succès momentané et conjoint du Costa Rica contre la « Mannschaft », a complètement modifié le cadre psychologique de l’Espagne : le Maroc ne fait pas peur en tant que tel, c’est la chronologie de ce 8e de finale, que l’Espagne craint. Après ce traumatisant faux pas contre la sélection nipponne, ce « match d’après ».
Dans un fauteuil après avoir laminé d’entrée de tournoi les « Ticos », les Espagnols se sont retrouvés sans préavis dans le divan après le double raid des hommes de Moriyasu.

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