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Affaire Olivier Vandecasteele: la «diplomatie des otages» bat son plein en Iran

Le sort funeste du Belge Olivier Vandecasteele n’est qu’un exemple supplémentaire de la méthode de chantage d’Etat à Etat à laquelle le régime islamique radical recourt volontiers.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 4 min

La condamnation à Téhéran du travailleur humanitaire belge Olivier Vandecasteele à 28 ans de prison – pour des charges non connues à ce jour –, annoncée ce 14 décembre, confirme une fois de plus le recours, par la République islamique d’Iran, à un procédé qui s’apparente tout simplement à du chantage et qu’on appelle « la diplomatie des otages ». Le procédé consiste à arrêter sur le sol iranien des ressortissants – souvent mais pas toujours des personnes possédant une double nationalité, dont l’iranienne – de pays dont le régime iranien veut obtenir quelque chose d’important à ses yeux, comme la libération d’un ou de plusieurs de ses agents détenus dans ces pays ou le déblocage de fonds gelés.

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