Fight impunity, le paravent idéal pour des activités suspectes
La lutte contre l’impunité est un combat tout à fait noble, mais pour l’ONG italienne basée à Bruxelles, c’est nettement plus flou. Une nébuleuse d’associations tourne autour de l’association de Panzeri et consorts.


Non, on n’a rien sur Fight impunity. » A part l’acte constitutif de l’ASBL déposé devant notaire le 25 septembre 2019, pas la moindre trace des comptes de l’ONG au greffe du tribunal de l’entreprise de Bruxelles. La loi est pourtant très claire, les comptes doivent être déposés chaque année. Et si aucun bilan n’est envoyé après trois ans, le tribunal peut dissoudre l’association. Ce qui n’est pas le cas pour l’instant de Fight impunity dont l’appellation exacte est « Association Against Impunity and Transitional Justice » (AITJ).

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir5 Commentaires
L'idée était bonne, beaucoup ont signé de bonne foi. Mais c'est un peu comme "notre" fameux greffier électron TRES LIBRE qui n'était surveillé par personne!
Scandale oui, mais découvert... ça veut dire que certains font quand même du TRES BON BOULOT... continuez le nettoyage svp. Tous ces politiciens véreux devraient être bannis A VIE de la politique.
Ces ONG ne sont « NG » que de nom.
"""Elles ne voient pas d’un bon œil l’arrivée de nouveaux venus parce qu’il y a beaucoup de concurrence sur ce créneau."""" C'est vrai qu'on peut pomper du fric à tour de bras,pour réinvestir dans une autre ONG...donc l'argent circule et ni vu ni connu!
Ces ONG sont un cancer de notre société