Les services secrets marocains suspectés d’ingérence
Les mêmes acteurs du milieu européen auraient été en contact tantôt avec le Qatar, tantôt avec le Maroc, afin de corrompre le fonctionnement du Parlement.

Les mêmes acteurs du milieu européen auraient été en contact tantôt avec le Qatar, tantôt avec le Maroc, afin de corrompre le fonctionnement du Parlement.
Soupçonné dans le mandat d’arrêt européen qui a été lancé le 9 décembre à l’encontre de l’épouse et la fille de l’ex-parlementaire S&D Antonio Panzeri d’être « intervenu politiquement auprès de députés européens en faveur du Qatar et du Maroc, contre paiement », le Maroc est concerné dans ce dossier de potentielle corruption par son service de renseignements extérieurs, la DGED – Direction générale des études et de la documentation. C’est ce qu’il ressort de documents qu’ont pu consulter Le Soir et La Repubblica.

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