Lille, un bien bel endroit pour écrire l’histoire


C’est donc une marée noir-jaune-rouge qui est attendue ce vendredi dans la capitale des Hauts-de- France. Une ville chère au cœur de nombreux Belges, qui apprécient plus que tout cette belle cité flamande… où tout le monde parle français. Lille, je ne suis pas le dernier à l’aimer. Et pour cause, j’y ai étudié le journalisme pendant deux ans. De quoi faire le plein de souvenirs, souvent liés (allez savoir pourquoi…) à quelques établissements de débit de boissons dont la ville regorge : la « dégustation » du beaujolais nouveau au Georges V, sur le boulevard de la Liberté ; la Guinness au pub L’Irlandais, rue Solférino… Je vous épargne les détails. Pourtant, de cette époque (nous sommes en 1995-1996), le football est étrangement absent. Eden Hazard n’a pas encore fait les beaux jours du Losc. En 1994, le club, propriété de la ville, est au bord du dépôt de bilan. La saison suivante, les Dogues n’évitent que de justesse la relégation en D2 (qui surviendra malgré tout en 1997).

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