Le sabordage bidon d’Elon Musk, pour mieux contrôler Twitter (et Tesla)
Par sondage, le duel opposant Musk contre Musk s’est soldé par la victoire du premier (qui reprend pied dans ses affaires) et la défaite du second (qui a perdu pied dans ses affaires). Le dernier épisode de la saga surréaliste du rachat de Twitter vire à la comédie.


Avant, sur Twitter, il y avait Donald Trump, le troll en chef qui hoquetait des sottises en rafale. Aujourd’hui, il y a Elon Musk, nouveau patron du réseau social, « chief twit » (« crétin », en anglais), comme il s’est lui-même baptisé au moment de son rachat pour 44 milliards de dollars. Sans répit, depuis 6 mois, il alimente le feuilleton le plus rocambolesque de la « nouvelle économie », dont le scénario tisse l’histoire d’un crash sans fin.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Qui va être son homme de paille?
Ou quand les journalistes regrettent l'ancien twitter ou les bien pensant faisaient régner la censure. Tout ce qui ne rentrait pas dans leurs cases était désigné "Fake news" et devait donc être légitiment censuré peu importe la véracité des informations.
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