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Amélie Antoine: «On ne connaît jamais vraiment les autres»

Amélie Antoine vide un village apparemment paisible en rachetant les maisons et en les abandonnant « Aux quatre vents ». Pourquoi ? C’est le sel de ce roman assez addictif.

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Responsable des "Livres du Soir" Temps de lecture: 4 min

Aux quatre vents, Amélie Antoine, XO Editions, 440 p., 20,90€, ebook 13,99€

Sabran-sur-la-Lys. Un village du nord de la France. Léa y est retournée avec son fils pour vivre paisiblement à la campagne. Mais le village de son enfance a changé. De nombreuses maisons sont vidées de ses habitants. Il apparaît que c’est un seul propriétaire, un certain Clément de Clercq, dont on ne sait rien, qui les rachète à gros prix. Pour les laisser abandonnées. Et leur arracher portes et fenêtres. Ces maisons pourrissent, le village se vide. Qui est ce Clément ? Et surtout : pourquoi agit-il de cette façon ? Une vengeance ? Oui, mais à propos de quoi ?

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