Des urgences hospitalières proches de la saturation
Les services d’urgences des hôpitaux sont en plein pic d’infections respiratoires. L’arrivée de l’hiver est synonyme de fêtes, mais aussi de virus. Tension, saturation, sont les mots employés par les médecins pour qualifier la situation.
Plusieurs hôpitaux flamands ont tiré la sonnette d’alarme : les urgences sont saturées. En Wallonie, la situation est préoccupante aussi. Soignants qui doivent revenir sur leurs jours de congés, appel à des intérimaires, lits tous occupés… Globalement, la situation n’est pas encore catastrophique. Si certains hôpitaux s’en sortent mieux que d’autres, il faut rester vigilant.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
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Posté par STORDIAU Pierre, lundi 26 décembre 2022, 19:58
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Posté par De Ronde Michel, samedi 24 décembre 2022, 13:50
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Posté par De Ronde Michel, samedi 24 décembre 2022, 13:49
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Posté par Penay François, samedi 24 décembre 2022, 10:58
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Posté par lucas patrick, samedi 24 décembre 2022, 10:37
Plus de commentairesAvec le retour du "froid" il y a bien évidement une recrudescence des pathologies touchant notre appareil "respiratoire" ; Covid 19 inclus; et impactant nos services hospitaliers, au Nord comme au Sud . Tous le monde l'aura compris ... à part certains indécrottables obscurantistes dont les posts rageurs iront également en crescendo plus bas. Amen.
Vous avez raison, le temps de l’apostolat est bien révolu. Peu de médecins de « famille » se déplacent encore à domicile. Vous, « patients », êtes juste bon à vous déplacer malgré votre état aux consultations et à patienter pendant des heures dans une salle d’attente bondée, à la merci des virus et bactéries ambiantes. Ce n’est pas mieux en dehors des heures de consultations après qu’une « voix » du service de « garde » se soit limitée à vous rediriger vers les services d’urgence des hôpitaux et vous envoie pour ce faire un taxi de luxe, c’est-à-dire une ambulance non médicalisée.
Vous avez raison, le temps de l’apostolat est bien révolu. Peu de médecins de « famille » se déplacent encore à domicile. Vous, « patients », êtes juste bon à vous déplacer malgré votre état aux consultations et à patienter pendant des heures dans une salle d’attente bondée, à la merci des virus et bactéries ambiantes. Ce n’est pas mieux en dehors des heures de consultations après qu’une « voix » du service de « garde » se soit limitée à vous rediriger vers les services d’urgence des hôpitaux et vous envoie pour ce faire un taxi de luxe, c’est-à-dire une ambulance non médicalisée.
"Autre indicateur : le nombre de lits fermés. Il est assez stable, et indique que le personnel semble ne pas manquer." Si les lits sont fermés, c'est qu'il manque du personnel ! Si on n'en ferme pas c'est tout simplement parce qu'il faut bien accueillir les patients et éviter la faillite de l'hôpital. Les services qui ne sont pas fermés tournent avec moins de personnel. Les gens présents font la base et n'ont malheureusement pas de temps à consacrer aux patients pour "l'accessoire". Ces services ouverts tournent parfois avec une seule personne de l'équipe et des intérimaires (qui ne connaissent pas toujours le service) ou du renfort des services voisins (déjà en souffrance). À part ça, joyeux Noël.
je changerai le titre en "Un pic de maladies respiratoires et un rebond après deux ans d'injection forcée" car en effet, la Flandres a été -une fois de plus- l'exemple type du bon citoyen. Mais réveillez vous là dans le Nord, celui qui vous décerne la médaille de bon citoyen ne vous veut pas forcément du bien.