Baptème de l’art: Aïda et le dromadaire
Tous les mercredis, trois raisons de se lancer dans une activité avec les enfants. Cette semaine, on va applaudir « Aïda et le rêve du dromadaire » au Marni, à Ixelles.


Si vous lisez habituellement cette rubrique, vous connaissez Manu Hermia, c’est sûr. Jazz for Kids, c’est lui. Des concerts et des albums destinés aux plus petits, avec ses complices Pascal Mohy et Sam Gerstmans. Une poétique musicale qui cultive l’âme des plus petits à travers la réinterprétation jazzy des comptines. Mais Manu Hermia, saxophoniste et flûtiste, ancré dans la tradition du jazz, inspiré par l’avant-garde, curieux des musiques orientales, ne voulait pas en rester là. « J’ai commencé à écrire un conte, il y a plusieurs années », raconte-t-il. « Le son du bansuri, une flûte indienne, fonctionne bien avec les enfants. Je voulais donc utiliser cet instrument et écrire une histoire. Où la musique interviendrait, comme dans Pierre et le Loup. De la musique, du texte et des chansons. » Et voilà Aïda et le rêve du dromadaire, un spectacle pour les enfants de plus de 5 ans et pour tous d’ailleurs. Aïda, dromadaire ?

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