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Prisons: avec l’ouverture d’Haren, la situation à Saint-Gilles s’est dégradée à vue d’œil

Jamais la maison d’arrêt de Bruxelles n’avait connu un tel manque de personnel, ce qui a de lourdes conséquences sur les conditions de détention, de l’aveu d’acteurs distincts. Un collectif de proches de prisonniers se prépare à aller en justice.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 5 min

La semaine dernière, la DH déplorait 3 suicides au sein de la prison de Saint-Gilles, uniquement depuis septembre. Hors des murs, le Collectif de Proches de Détenus de Belgique (dit CPDB) est plus que jamais inquiet des conditions de détention auxquelles y sont soumis les prisonniers. Ce groupe de solidarité qui s’est soudé durant la période covid détaille dans une communication envoyée au Soir des conditions de vie devenues catastrophiques au sein de la prison. En pointant directement du doigt ce qu’il perçoit comme les conséquences de l’ouverture de la prison de Haren (dans laquelle ont déjà été transférés 188 hommes et 76 femmes, pour une capacité totale de 1190 détenus) cet automne.

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