Benoît XVI: l’Eglise a l’éternité (ou presque) pour elle
Joseph Ratzinger n’avait pas osé s’attaquer à la pédocriminalité qui gangrène le clergé. Il restera le théologien brillant d’une Eglise qui accumule les retards sur son temps.


Benoît XVI restera le pape de la « renonciation ». En 2013, il avait surpris tout le monde en déclarant n’être plus apte à exercer de façon adéquate son ministère. Il s’était retiré, brisant toutefois le silence en 2020 pour réaffirmer l’importance du célibat sacerdotal, la règle selon laquelle seuls des hommes célibataires peuvent être ordonnés prêtres.
Durant son pontificat, Benoît XVI n’a pas trouvé l’envie, le courage et/ou les soutiens pour débusquer les pervers qui salissent l’Eglise bien qu’il ait identifié ce fléau. Le théologien brillant qu’était Joseph Ratzinger devint ainsi pour une partie de l’opinion le « pape complice » des pédophiles.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
L'Eglise peut-être mais sûrement pas Engie !