Enseignement supérieur: pourquoi certains étudiants sont déjà en examen?
Sur les six universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles, seuls deux établissements ont fait le choix de démarrer les examens le 2 janvier. En pleine discussion sur la réforme des rythmes académiques, les universités ne sont pas encore sur la même longueur d’onde.


Ce lundi marquait le début de la session d’examens de janvier pour quelques milliers d’étudiants de l’enseignement supérieur. Sur les six universités que compte la Fédération Wallonie-Bruxelles (bientôt cinq après la fusion UCLouvain-Saint-Louis), deux établissements ont fait le choix de démarrer les hostilités au lendemain du jour de l’an et alors que les congés scolaires se poursuivent dans l’enseignement obligatoire. Il s’agit de l’université de Liège et de l’université de Namur. Ici, la session d’évaluations s’étalera du 2 au 28 janvier (22 janvier pour l’UNamur). La période de blocus avait débuté le 12 pour les étudiants namurois, une semaine plus tard pour leurs camarades liégeois. « Nous avons toujours fonctionné de la sorte, mais comme le jour de l’an tombe en fin de semaine, c’est davantage marqué cette année », indique Didier Moreau de l’ULiège. « Cela permet d’étaler les sessions, parfois bien chargées en termes d’examens, sur quatre semaines au lieu de trois. »

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