Clinton « ravie » de se mettre à table avec le FBI
Les dégâts politiques sont, par ailleurs, énormes. Son rival Trump réclame déjà des poursuites judiciaires.

Que faire lorsqu’une enquête du FBI pour divulgation potentielle d’informations top secret menace de torpiller votre campagne présidentielle ? Hillary Clinton a trouvé la réponse : nier tout, en bloc, et donner l’impression de contrôler le processus. Samedi matin, à Washington, la candidate démocrate à la succession de Barack Obama le 8 novembre prochain à la Maison-Blanche a donc été entendue durant trois heures et demie par le « Bureau », mais c’est elle, à l’entendre, qui a souhaité et suggéré cet interrogatoire. « Il me tardait de le faire, et je suis ravie d’avoir eu cette opportunité d’apporter mon assistance au ministère (de la Justice) pour lui permettre de conclure cette enquête », a-t-elle déclaré par téléphone sur MSNBC samedi.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire