Parlement européen: un mois après le scandale de corruption, un premier vote exceptionnel contre le Maroc
Les eurodéputés voteront la semaine prochaine une résolution sur les droits humains au Maroc. Rien à voir, à première vue, avec le scandale de corruption. Mais jusqu’ici le Maroc avait toujours été épargné par le Parlement européen.


Une digue a sauté au Parlement européen. Pour la première fois en 25 ans, les eurodéputés vont débattre en séance plénière des droits humains au Maroc. Jusqu’à présent, aucun texte condamnant le royaume chérifien n’avait passé la rampe des discussions entre groupes politiques. Mais après le récent scandale de corruption qui frappe l’institution européenne, les lignes ont bougé et une résolution d’urgence sera soumise au vote jeudi prochain.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir12 Commentaires
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Posté par D Marc, samedi 14 janvier 2023, 19:01
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Posté par Patric Stun, samedi 14 janvier 2023, 16:26
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Posté par Lambotte Serge, samedi 14 janvier 2023, 12:21
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Posté par FIGUEROA Hector, samedi 14 janvier 2023, 9:09
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Posté par Z pour Zorglub, samedi 14 janvier 2023, 6:05
Plus de commentairesDepuis le début de cette législature le PE a déjà discuté de 1.242 résolutions! Une de plus ... Mais qui peut citer une résolution du PE, à part ceux qui l'ont écrite?
Pour faire semblant
Si le vote est négatif, Panzeri et les autres vont devoir rembourser.
Parlament: on va vous comdaner, on a decuvert que vous ne respectéz pas les droits humains depuis 50 ans! Maroc: Verdomme Mohamed! on a oublié payer queln?
Depuis 50 ans, l’europe s’arrange très bien de l’annexion illégal du sahara occidental malgré la résistance, les référendums locaux d’indépendance et la répression militaire. Tiens c’est bizarre, une situation assez similaire en ukraine (guerre civile dans des provinces indépendantistes,, référendums d’indépendance niés par le gvt central, répression genocidaire militaire) a entrainé une réaction du grand voisin russe et cela a fait bondir l’UE et le parlement européen instituant des sanctions contre « l’agresseur ». Deux poids deux mesures comme toujours dans nos jolies démocraties exemplaires