Garder le cachet des rives du fleuve
Pour l’Association de défense, les menaces de « littoralisation » sont toujours présentes. A Lustin, l’extension du Belvédère prévoit de tripler la volumétrie actuelle.

La « littoralisation » des bords de Meuse guette-t-elle à nouveau ? Si l’urbanisation « agressive » des rives du fleuve – avec le risque de leur faire prendre des allures de Côte belge – est aujourd’hui moins souvent évoquée qu’à la grande époque des levées de bouclier – même Inter-Evironnement Wallonie s’y était mis en 2010 avec d’autres, tout comme on se souvient aussi du règlement d’urbanisme spécifique pris par la Ville de Namur pour préserver ses villas mosanes –, le danger menacerait toujours. C’est en tout cas l’avis de l’Association de défense des sites et vallées du Namurois (ADSVN) qui tire la sonnette d’alarme en pointant trois projets en Haute-Meuse à Wépion, Lustin et Houx. Trois projets immobiliers introduits dans trois communes différentes (Namur, Profondeville et Yvoir) en moins d’un an.

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