L’écrivaine Vivian Gornick: «J’ignore ce que je serais devenue si le féminisme n’avait pas aidé à ouvrir mon univers»
La New-Yorkaise met en pièces les lieux communs du mariage et de l’amour romantique dépeints dans la littérature.
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Vivian Gornick connaît un certain phénomène étrange qui, occasionnellement, survient en littérature et dans la vie : une foudroyante reconnaissance tardive. De son point de vue, #MeToo et une nouvelle sensibilité ont poussé les femmes jeunes à se tourner vers celles de sa propre génération, où elles trouvent des référents. The End of the Novel of Love (La fin du roman d’amour, non traduit en français), un ouvrage des années 1990 dans lequel cette autrice déconstruisait le dogme excessif réservé par la littérature au couple, en constitue un exemple. Féministe convaincue, cette New-Yorkaise de 87 ans y détricote les lieux communs de l’amour.
L’amour, tel que nous le connaissions, est-il révolu ?

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