Sécurité alimentaire: les snacks pita peuvent mieux faire
Le rapport 2015 de l’Afsca montre toutefois une amélioration générale par rapport à l’année précédente. Notamment grâce aux systèmes d’autocontrôles élaborés par les entreprises et validés par l’Agence.


N ous devons faire face aux restrictions budgétaires décidées par le gouvernement mais nous avons apporté aux consommateurs les garanties que nous poursuivons notre travail », signale Herman Dirickx, administrateur délégué de l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), au moment de présenter le rapport d’activités de l’année 2015.
Au cours de l’exercice écoulé, l’Agence a mené 122.720 missions de contrôle. Soit près de 8.000 de moins qu’en 2014. Parmi celles-ci, 87,3 % ont débouché sur un avis favorable, soit une hausse de 0,4 % par rapport à l’année précédente. Certains contrôles ont porté sur les infrastructures, les installations et l’hygiène. Et là, force est de constater que le bât blesse en certains endroits.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Le problème des contrôles est leur mauvais ciblage. Alors que les entreprises qui fabriquent des denrées d'origine animale peuvent être contrôlées jusqu'à 16 fois par an, les établissements horeca sont contrôlés une fois tous les 3 ans. Ce qui leur laisse largement le temps de disparaître avant le premier contrôle. Mais c'est vrai, les premiers sont contrôlés par des vétérinaires (ex-IEV) les seconds par des non-vétérinaires (ex-IGDA). C'est ce qu'on appelle une fusion.