Comment la Belgique mise sur les jeux vidéo
Tax shelter, fonds publics, création d’un master… plusieurs initiatives ont été prises ces dernières années pour permettre à ce secteur très jeune mais à haut potentiel de se structurer. Son défi principal ? Se professionnaliser et décrocher des succès commerciaux.


C’était la pièce manquante du puzzle en matière de soutien public. Celle qu’appelaient de leurs vœux depuis des années les promoteurs d’un écosystème du jeu vidéo solide et prospère en Belgique. Ce 1er janvier, le tax shelter a été étendu au secteur. Cet incitant fiscal, déjà utilisé dans le cadre du soutien à l’industrie du cinéma et aux arts de la scène, permet à des entreprises d’investir une partie de leurs bénéfices dans la production d’un jeu. En contrepartie, elles obtiennent un rendement financier et fiscal attractif.
L’ambition est de donner un coup d’accélérateur au développement de ce secteur encore émergent, comme ce fut le cas pour le cinéma. « Cela devrait permettre d’augmenter la capacité de production du secteur d’un tiers et de créer 300 à 500 emplois par an », estime Jean Gréban, coordinateur de Walga, l’association professionnelle du jeu vidéo en Wallonie.

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