Quand les multinationales affichent leurs convictions
Avant M&M’s, des géants comme Nike, Coca-Cola ou Citigroup ont eu à subir des « bad buzz » et des campagnes de boycott.


Prompte à dénoncer la cancel culture chez les « libéraux », la droite américaine n’est jamais la dernière à appeler au boycott de sociétés qui embrassent des causes trop progressistes à ses yeux. Ainsi, avant Mars et ses M&M’s (lire ci-dessus), les foudres conservatrices ont frappé des géants de Wall Street comme Nike, Coca-Cola, UPS, Delta Air Lines ou Citigroup.
Ainsi, à l’été 2018, le visage en gros plan, et en noir et blanc, du joueur de football américain Colin Kaepernick fleurit sur les murs des grandes villes, avec le message : « Croyez en quelque chose. Même si cela signifie tout sacrifier » et en dessous, le logo et le slogan de Nike. Depuis deux ans, Kaepernick était sur la touche, après avoir défrayé la chronique en posant un genou à terre lors de l’exécution de l’hymne national d’avant-match, pour protester contre le racisme et violences policières.

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