Deraedt: « Si Vandenhaute avait pu tenir le même discours que Bayat… »
Laurent Deraedt revient sur son licenciement d’Anderlecht. L’entraîneur des gardiens explique également pourquoi il n’a pas suivi Felice Mazzù à Charleroi.
Si Felice Mazzù a rapidement retrouvé de l’embauche à Charleroi après son licenciement d’Anderlecht, ce n’est pas le cas de Laurent Deraedt. « J’ai eu une discussion très positive avec Mehdi Bayat. Il était clair que Cédric Berthelin (NDLR : l’entraîneur des gardiens des Zèbres), que je connais et qui est un copain, donnait entière satisfaction au club. Charleroi n’avait pas spécialement envie de se séparer de lui. Et pour moi, il était impossible de pousser Cédric vers la sortie pour prendre sa place. C’est le seul entraîneur des gardiens de D1 qui m’a envoyé un message après mon licenciement. J’aurais perdu ma dignité d’homme, et j’avais vraiment envie de pouvoir me regarder dans la glace le matin. En fait, j’étais même plutôt content du discours de Bayat qui disait qu’il voulait conserver Cédric malgré le changement d’entraîneur principal (NDLR : après l’éviction d’Edward Still). Cela montrait la considération que le club avait envers lui. »

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