Festival d’Angoulême: Riad Sattouf, le beau gosse de la bande dessinée
En 2016, le Franco-Syrien avait demandé que son nom soit retiré de la liste des nominés au Grand Prix d’Angoulême, par solidarité avec les autrices qui en étaient exclues. Sept ans plus tard, le Festival a fait la paix avec les créatrices de bande dessinée et lui décerne la récompense suprême.


Dessinateur, ce n’est pas un métier, c’est la honte, lui avait dit son père. Trente ans plus tard, Riad Sattouf inscrit son nom en lettres d’or au Panthéon des plus grands auteurs de bande dessinée. Mercredi soir, il a été sacré Grand Prix pour l’ensemble de son œuvre, au 50e Festival international d’Angoulême, la Mecque de la bande dessinée européenne.

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